Quelle magnifique soirée qui s’annonçait là, une légère brise caressait les nombreuses demeures du village cachée de la feuille. La grande maison de ma famille était recouverte de feuilles, chacune étaient très belle, d’une couleur variant du rouge au jaune. Les trois jeunes femmes, la cousine, la grand-mère et la sœur de Shushane étaient munis d’un grand kimono, qui se baladait dans le vent. Ces robes étaient absolument somptueuse, il était totalement impossible de trouver mieux. Elles étaient en attente de nouvelle de ma mère, qui était en train de me laisser sortir de son intimité. Je poussais de nombreux cris, pour exprimer que cette sensation bizarre (la première respiration) me faisait très drôle, voir un peu mal. Quand à ma chère mère, elle semblait anéanti par les efforts que l’accouchement lui avait demandé. Des gouttes coulaient sur son visage, puis s’étalant après sur sa poitrine. Je ne le savais pas encore, mais je venais de demander beaucoup à ma mère, même si ma naissance allait lui procurer beaucoup de bonheur. Ma sœur, me pris, puis me roulai dans un tissu de couleur rose, en satin exactement. Bien sûr, avant, elle m’avait ôté cette couche de sang qui logeait sur mon petit corps.

Nous entendîmes alors, un bruit semblable à celui d’un grondement de tonnerre. Les portes de ma maison c’était totalement effondrées. Des hommes pénétraient peu à peu dans chaque pièce de ma maison, afin de prendre le contrôle. Malgré leurs airs de petite femme fétiche, les femmes de ma famille étaient loin d’être faible, même redoutées. Mais ils étaient en avantages par rapport à leurs nombres. Ma sœur m’enfermai dans une pièce sous-terre, on ne pouvait accéder à cette pièce sans le chakra d’un membre de ma famille. Elle me déposai, puis enfilai son armure et ses armes. Des cris, hurlements, hantèrent mon esprit, je ne faisais aucun bruit, comme un animal qui essayait de survivre. C’est alors qu’un grand claquement se fît entendre,Des hommes pénètrent dans la pièce ou j’étais. Un de ses fourbes se penchai sur moi, puis me regardai d’un air dégoûté, comme çi je n’avais pas été à son goût. D’un coup rapide et puissant, il me frappai le ventre, puis hurlai comme une sorcière qui exécute un sortilège. Mon bras commençait à devenir noir peu à peu, une douleur atroce montait peu à peu vers ma tête. On aurait dit que j’étais dans un feu, c’était très douloureux .J’étais seule dans cette pièce, certes à l’abris des intempéries, mais loin des gens qui pouvaient m’aider...

Une jeune femme était venue me chercher, elle semblait calme et très sûr de ce qu'elle faisait. Elle me prie avec précaution et utilisai un jutsu de soin, afin de calmer la douleur qui me faisait hurler. Le feu s'estompait, je me sentais déjà beaucoup mieux, mais il me restait encore une chose à faire, manger ... Comment allais-je faire ? A cet âge, les nourrissons demandaient du lait maternelle, même si l'alimentation au biberon était possible (mais peu recommandé). A mon plus grand étonnement, elle sortie un sein, puis me laissa approcher afin d'absorber le lait. Elle avait apparemment eu des enfants, pour pouvoir avoir du lait. Pendant que le liquide coulait dans ma gorge, je pensais à une chose, comment cette gentile femme avait pénétrée la salle où j'étais enfermée. Peut-être faisait-elle partie de ma famille, qui sais ? Elle me portai alors vers le grand bâtiment qui dominait toutes les rues du village, le bureau du chef. Cet homme était de taille moyenne, mais il dégageait quelque chose, comme çi nous étions plus en sécurité ici qu'ailleurs, ce qui était sûrement le cas. Il avait une petite barbichette, qui lui donnait un air encore plus sérieux, il avait aussi un grain de beauté sur le visage, jeune cet homme avait été sûrement beau. Elle me posai sur le bureau et l'Hokage me caressai la joue d'un geste doux. Sa peau était agréable à sentir, toute douce, et sentais aussi la lavande. Il me prenai, puis faisait signe à la jeune femme de sortir, j'étais apparemment désormais sous son enseignement.

Quelques années plus tard, j’avais cinq ans. Le troisième Hokage était un homme respectable, c’est seulement après cinq ans avec lui que j’ai pût l’affirmer. Je n’avais eu aucun mal à apprendre à marcher et à parler. Bien sûr, nous n’allions pas restés à apprendre plusieurs choses sans réelle utilité. Il m’avait tout d’abord enseignée à user de son bâton, une invocation très impressionnante. Je ne savais pas si j’étais de taille, comment faire pour devenir la fierté du troisième Hokage ? L’homme qui à apprit toutes les techniques de son village en quelques jours. Dans tous les cas, même je faisais des efforts surhumains, il ne me léguerai jamais cette invocation. Je n’apprenais pas seulement ça, mais aussi à manier une des affinités que je maniais le mieux, le vent. Alliée au maniement d’une arme, cette affinité était parfaite. Je pouvais égaliser pendant deux secondes seulement mon enseignant. Même si cela paraît être peu, pour un enfant de cinq ans, c’était un chiffre plutôt bon. Nous nous entraînions sur le toit de l’arène. Et nous continuons comme ça jusqu’à l’attaque de Konoha…

Une larme, des larmes, il était bel et bien mort, debout sur ce balcon, la tête penché, je regardais le village. Mon enseignant venait de mourir, tué par le grand serpent blanc. Son enseignement m’aura été si utile; Cet homme est grand et le restera éternellement, mort ou vif. Je pensais à ce combat qu’il avait mené face à tous ces hommes assoiffés de pouvoir, pendant que j’essayais de défendre les alentours…

"Mes pensées étaient monotone, remuant toujours le même sujet. Avait-il souffert lors de sa chute ? Le combat lui avait-il apporté beaucoup de douleur ? Ces pensées tournaient sans s’arrêter dans ma tête. Le monde n’as donc aucune règles, aucun moyen de rendre éternelle les personnes puissantes et importantes ? Alors, si c’est ça, le monde est injuste. Un couteau à la main, je sautais dans tous les sens, les hommes jaillissaient de partout, essayant de me tuer. Les explosions se multipliaient sans cesse, la fumée encore plus grande chaque seconde. Tous les ninjas de Konoha s’entraide, afin de mener à bien leurs combats. Quand je vis le toit de l’arène recouvert d’une muraille mauve, je fus secouée, et atteinte par un couteau ninja en même-temps. Le liquide vital coulait lentement mais sûrement sur ma joue. Quatre hommes tenaient leurs mains jointes, laissant apercevoir leurs chakras alimentés la barrière. Une forêt avait poussée en plein milieu, et trois ninjas semblaient se tenir debout devant celle-ci. Je combattais, pensant aux différentes manières de tuer un ennemi en le faisant souffrir que m’avait appris je me sentais très mal en ce temps ci, mais il ne fallait pas que je me laisse distraire par le combat du maître Hokage. Moi et mes amis combattions, pour rendre honneur à notre beau village caché... "

C’est exactement qui se remuait dans un cycle monotone dans mon cerveau. Je ne pouvais par arrêter de penser à ces moments. C’était le jour de l’enterrement de mon enseignant, mon maître, l’homme qui m’a guidée dans mes choix. Sa mort n’était pas seulement une source de tristesse mais aussi d’inquiétude car il était le seul à savoir me fournir les bon médecins pour cette maladie qui me rongeai de plus en plus. Mon sourire radieux de tous les jours avait disparut, comme volatilisé dans un autre monde. Je pensais que nous allions retrouver un nouveau chef de village en quelques jours mais malheureusement ce ne fût absolument pas le cas. L’ermite qui faisait partit du trio des grands ninjas légendaires avait refusé le poste, et la seule personne apte était loin du village, il fallait donc aller la chercher, ce qui ne fût pas tâche facile pour mes amis. Il avait avec l’ermite un petit gamin blondinet, il était mignon. Il avait deux ans de moins que moi, j’en avais quatorze et lui en avait douze, mais ce n’est pas ce petit écart qui aurait pût m’empêcher de devenir son ami si nous l’étions devenu. J’étais très intéressé à l’époque par ce petit homme, il semblait si déterminé, que j’aurais pût tomber amoureuse rien quand l’écoutant parler. Mais tous ça se disait bien entendu au fond de moi, et personne n’était au courant de mon attirance pour lui. Je n’attendais pas seulement l’arrivé du nouveau chef, mais aussi le nom exact du ninja qui avait assassinée mon maître. Un homme à la tête plutôt particulière, car très pâle et très peu animé par les sentiments. C’est une semaine plus tard que Tsunade arrivai au village pour nous apporter son aide précieuse. Tous le monde racontait qu’elle possédait une force surhumaine dépassant l’entendement humain, mais ceci n’était pas que des rumeurs, elle en possédait belle et bien une. Il me restait une dernière chose à faire lui rendre visite afin de trouver de l’aide. C’est ce que je fis dès mon retour en centre-ville. Elle semblait calme quand je rentrais dans le bureau sans frapper. Elle avait apparemment était avertit, elle savait que ce bureau était le seul lieu ou je pouvais logée sans payer aucun loyer. Elle ne me laissai pas le temps de prendre la parole, elle me coupai et m’annonça que j’allais être pris en charge par son assistante personnelle, une certaine ; Shizune. Cette fille était très calme et avait dans ses bras un petit cochon qui semblait être très calme lui aussi. Elle m’accompagnai vers une petite chambre au rez-de-chaussez et me fit signe de m’installer comme bon il me semblait. Je vis alors sur les murs des affiches affichant « Recherché » avec de nombreuses photos d’hommes soit connu ou totalement inconnu. Je vis alors l’homme pâle sans aucune expression du visage, il s’appelait … Orochimaru ! Je pris alors l’affiche, laissant une trace au mur, puis déposa le bout de papier dans ma poche. La vengeance était en marche.


J’avais quittée le village sans aucune autorisation de sortie de la part de Tsunade. Je risquais beaucoup, mais il fallait absolument que je rencontre le serpent blanc afin de régler mes comptes avec lui. J’avais dans mes buts principaux sa mort, mais aussi l’obtention de sa force. Certes je n’étais pas assoiffée de pouvoir, mes si ses connaissances pouvaient devenir mienne, ce serait un avantage hors-norme. A peine âgée de quinze ans, je mettais ma vie en danger, en prenant la direction de son domaine. La forêt qui était tout autour était profonde et lugubre, les gouttes d’eaux qui chutait des feuilles des arbres faisaient résonner un bruit répétitif. C’est alors qu’une grotte profonde se dévoilai devant mes yeux, faite de pierres blanches très massive. Comme le maître m’avait appris, je jetai un petit kunaï en direction du sol de la grotte. Une multitude d’explosions se firent entendre et voire, je fus alors avertit du danger qui était dans cette grotte. D’un pas décidée je fonçai vers l’entrée. Sans le voir, un parchemin se collai à mon épaule gauche, ce parchemin dégageait beaucoup de chakra en direction de la forêt désormais derrière moi. C’est alors qu’un homme fît son apparition devant moi, capuche autour de la tête, lunette mauve apparente, il me fixai dans les yeux. Après quelques paroles sans importance pour moi, il engageait un combat contre moi. Un kunaï se plantai dans mon pied, une douleur qui ne me faisait pas peur. Ce sbire était alors déjà derrière moi et m’assommai avec un simple coup de coude dans la nuque. Quand je me réveillais, j’étais devant un grand siège, et un homme se tenait dessus, la langue roulant sur ses lèvres, il me fixait. Apparemment l’assassin du troisième Hokage se trouvait devant moi. Au moment ou je m’en rendis compte, il avait déjà bondit sur moi, m’avertissant de la douleur qui allait suivre. Il mit un parchemin ou bout de son kunaï et l’enfonça peu à peu dans mon dos jusqu’à ne plus voir l’arme. C’est alors qu’un poison se propageai dans mon corps, je sentais mes os se renforcés, je me sentais encore plus forte physiquement. Il me dit alors, après quelques minutes, que l’arme qu’il venait de faire pénétrer dans mon corps contenait de ses cellules, des cellules qui allaient me donner une plus grande force physique mais aussi le contrôle des serpents. Je n’y voyais aucun avantage personnellement, mais peut-être que ceci allait m’aider plus tard. Je ne savais pas du tout pourquoi il m’avait choisit moi, mais, plus il me renforçait, plus j’avais de chance de pouvoir le tuer. Il me étrennai alors vers un grand champ plein d’homme, sabre à la main. Ils avaient un regard féroce, me fixant sans aucune expression.

" Il me dit alors qu’il fallait tous les tués afin d’être sûr que je sois de taille face aux autres ennemis du monde. Je me faisais manipuler et je ne m’en rendais absolument pas compte. Je ne devais pas le faire à main nu, mais à l’aide d’une arme plutôt spéciale. Il ne me fallait pas longtemps pour m’exécuter. Je sautais alors sur tous les ennemis, fauchant le sol avec ma grande faux, laissant voler les jambes et les bras que je touchais. Après une heure seulement, la colline était devenu rouge sang, car je les avais tous tués un par un. Orochimaru semblait content, mais je ne faisais que m’infiltrer pour le tué. Lui, croyait en revanche que j’allais lui servir. Mais moi je ne le savais pas, mais il voulait mon corps, les cellules qu’il m’avait implanté auparavant, c’était pour faciliter le transfert de son âme. J’étais chaque jours de plus en plus puissante. Puis il fût un jour, ou Kabuto m’amenai dans une salle sous la terre du repaire. Endormit directement après avoir été installée, en me réveillant, je ressentais quelque chose de bizarre me hantait. Apparemment le transfert avait échoué, car Orochimaru se trouvait devant moi, le corps plein de sang. Mais moi, je me sentais bizarrement forte. Des serpents mauves tournaient autour de moi, comme çi ils voulaient me protégé. Une nouvelle sheshana était née"

8 années plus tard, les cinq chefs de villages s’étaient réunis afin de mettre en place un système de défense. Oui car une organisation semblait leur donner beaucoup de peine. J’avais désormais vingt-huit ans, une jeune femme, à l’air sympathique, mais la réalité était bien loin de cette idée là. Après avoir été le sujet d’Orochimaru pendant cinq ans, je quittai alors cet homme, après, je désertai alors mon village. Un ninja libre, c’est ce que j’avais toujours rêvée de devenir. Et mes rêves étaient devenu réalité, que du bonheur pour moi. De plus, je ne prenais aucun parti dans la guerre, je n’étais pour aucun des deux camps. Mais le premier quand qui viendrait me demander de l’aide, je le servirai pendant quelques temps en échange de nouveaux apprentissages. Les combats s’enchaînaient sans cesse, ne me laissant aucun temps de répit. Même si je ne faisais parti d’aucun camp, les gens ne cessaient jamais de m’attaquer. Mais désormais, je me sentais ramener à mes origines, je voulais rejoindre l’alliance, mais je ne pouvais malheureusement pas, désormais, mon destin est entre mes mains…